Les changements de la société française ?!
- Quentin G.
- 19 nov. 2017
- 2 min de lecture
Mardi 14 et vendredi 17 novembre, nous nous sommes penchés au "club Bonjour" sur les thèmes de la liberté d'expression, du service militaire ainsi que de l'évolution du féminisme et de ses conséquences .
Nous avons abordé la semaine en réfléchissant sur la liberté d'expression en raison des polémiques que suscitent les spectacles de Dieudonné et certaines Unes de Charlie Hebdo. Nous avons en général été d'accord pour que la liberté d'expression du journal satirique et de Dieudonné soit défendue. Toutefois, le cas de l'humoriste a laissé certains dubitatif en raison de ses prises de parole lors de ses spectacles. L'un de nous a rappelé que s'il n'y a de liberté de parole, il n'y a pas de démocratie.
Puis nous avons bifurqué sur le sujet du féminisme. Nous étions tous unanimes pour dénoncer les féministes extrémistes qui ne mènent pas un combat pour l'égalité mais pour l'égalitarisme. Un autre a ajouté que la vague de Mai 68 a fait naître ces groupes féministes extrémistes. Nous avons surtout parlé du combat de certaines pour l'écriture inclusive (pour en savoir plus) et nous nous sommes accordés pour dire que l'écriture inclusive était une absurdité qui rendrait l'apprentissage de la langue française plus compliquée et la dénaturerait L'un des nôtres a rajouté qu'il valait mieux se battre pour l'égalité des salaires entre les hommes et les femmes que pour la gabegie qu'est l'écriture inclusive. Un du groupe a rappelé que dans les symboles français la femme est présente avec la figure de Marianne.
Par la suite, nous avons évoqué le sujet du service militaire, ce qui a divisé le groupe de discussion. Ses fervents défenseurs pensent qu'il faut appliquer cette obligation à tout le monde (hommes et femmes compris) pour apprendre des valeurs telles que la fraternité ou le respect. Les anti-service militaire brandissent le fait que cela freinerait la poursuite des études et que cela coûterait de l'argent. Ils préconisent tout de même d'y envoyer certains délinquants.
Quentin G., vice président du Club de débat du lycée Val de Garonne à Marmande.

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